Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Fin de la PAC, fin de l’autosuffisance alimentaire

18/02/2010 12:29

Fin de la PAC, fin de l’autosuffisance alimentaire


La crise du lait a eu le mérite de poser le problème de la réforme de la PAC, qui a abouti au démantèlement du prix de soutien et autorisé une baisse du prix de certains produits agricoles en-dessous du prix de revient des agriculteurs. Retour sur un immense gâchis.

La fin d’une politique européenne

A la base, la Politique Agricole Commune est née de la volonté du Général de Gaulle, qui en a imposé la constitution dans les années 60, au grand bénéfice de l’agriculture Française. Le principe de départ était le suivant : assurer une plus grande autosuffisance alimentaire à l’Europe (des 6, alors). La stratégie suivie était d’assurer des prix de soutien aux produits agricoles pour permettre aux agriculteurs de gagner leur vie, et également de promouvoir les exportations.

Ce système s’est buté aux excédents des années 80, qui ont nécessité un rachat de certains produits, en surproduction. Depuis, sous une double pression, interne (Commission Européenne, alliée aux Etats dont l’agriculture est peu développée) et externe (OMC, Etats-Unis, pays émergents exportateurs), l’Europe démantèle doucement mais sûrement la PAC, supprimant notamment les prix de soutien qui garantissaient aux producteurs un prix suffisamment rémunérateur.

Une agriculture sacrifiée

Comme le souligne Jacques Berthelot dans une tribune publiée par le Monde, le démantèlement progressif de la PAC a provoqué un fort affaiblissement de la balance commerciale de l’Union Européenne puisque le déficit de nos échanges alimentaires est passé de 11 à 24 milliards d’euros de 2000 à 2008, malgré un excédent maintenu avec les Etats-Unis. Bref, l’autosuffisance, qui était le but des pères fondateurs de la PAC, est de plus en plus un lointain mirage…

Plutôt que des subventions, il faudrait à nouveau imposer un prix de soutien aux prix agricoles pour assurer que les agriculteurs puissent vivre de leur travail. Certains objecteront que cela pénalise les pays émergents exportateurs, mais cela n’aurait pas forcément que des effets négatifs. En effet, cela leur permettrait de davantage se focaliser sur les cultures vivrières plutôt que de se concentrer sur des produits d’exportation dont la variation des cours peut se révéler désastreuse.

Une nécessaire régulation

En outre, l’image d’un protectionnisme scandaleux à l’égard des pays du Sud est complètement abusive puisque si l’on exclut le Brésil, l’Argentine, le Chili, la Thaïlande et la Malaisie, le déficit alimentaire des autres pays du Sud se monte à 79 milliards. Bref, la libéralisation ne profite qu’à un tout petit nombre et peut condamner les cultures vivrières de pays où la réforme agricole n’est pas suffisamment avancée. Le libre-échange peut handicaper le développement de certains pays.

Car n’oublions pas que le développement économique passe toujours par un développement de l’agriculture. L’humanité n’a pas forcément à gagner à laisser se développer une trop grande concentration de la production agricole. En effet, si la production est trop concentrée, alors une catastrophe climatique dans un ou deux pays pourrait provoquer un manque de nourriture qui produirait des famines. Une répartition moins concentrée de la production est plus sûre.

Bien sûr, le libre-échange porte en lui des bénéfices. Mais dans le cas de l’agriculture, les pays doivent pouvoir choisir d’être auto-suffisant pour se prémunir d’une dépendance vis-à-vis de l’étranger et des dangers que feraient porter une trop grande concentration de la production.

Laurent Pinsolle

http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/






La dictature UMP de plus en plus contestée

18/02/2010 12:20

La dictature UMP de plus en plus contestée


La démission de Béatrice Permuy illustre bien le fait qu’il y a quelque chose de pourris dans l’UMP. Et que dire de l’accès de mauvaise humeur de Thierry Lazaro, figure emblématique du Gaullisme local qui aura été traité par Paris comme un moins que rien. Cela ne fait que conforter la position prise il y a quelques années par les cadres de DLR vis-à-vis de l'UMP, ce parti totalitaire, inféodé  au bon vouloir d’un autocrate absolu trônant à l'Elysée. Aujourd’hui, beaucoup de militants et de sympathisants, ainsi que des élus comme Béatrice ou Thierry refusent ce rôle de godillot qu'on veut leur faire jouer au sein de l’UMP. L’esprit de révolte et de liberté semble souffler de nouveau. Nous les invitons tous  à intégrer la grande famille des gaullistes sincèrement attachés à une « certaine idée de la France  ». Pour qu'enfin triomphe cette idée, rejoignez - nous !

 

Le comité DLR de la 14ème circonscription

 



Commentaire de avec baranne ca brille (19/02/2010 10:08) :

au pays de la copinocratie,les barons ont les souliers impeccables! ca brille ! Véridique:,quand la liste est sortie,beaucoup croyaient que c'était la liste des invités à une fête d'anniversaire du secrétaire départemental! Etonnant mr DLR,que vous n'ayez pas remarqué la petite anecdote concernant la 4ème de liste pdc(dont le facebook fait glousser),qui a découvert avec surprise qu'elle était plaçée,et en plus à ce niveau! $$$ ils vont bieeeennnn tout va bieeeennnn $$$


Commentaire de DLR1 CH (19/02/2010 12:45) :

Cher anonyme, je n'ai pas suivis l'affaire provoquant des gloussements sur la toile en ce qui concerne la 4ème de liste UMP 62. Pourriez - vous nous en dire un plus à ce sujet !





L’euro, rattrapé par ses contradictions originelles, est à la croisée du destin

17/02/2010 13:08

L’euro, rattrapé par ses contradictions originelles, est à la croisée du destin


Dans une remarquable chronique, l'éditorialiste économique Martin Wolf constate l'impasse actuelle de l'union monétaire européenne, incapable de mobiliser le minimum de solidarité entre ses membres pour assurer sa propre survie. De deux choses l'une : soit l'Allemagne cesse d'imposer sa vision irréaliste de la monnaie et de mener une politique économique de cavalier seul, contradictoire avec les besoins de ses partenaires, soit la monnaie unique s'enfoncera dans des tensions insurmontables.
 
De l’importance d’importer
Par Martin Wolf - Le Monde économie - édition du 15 février 2010
La crise financière de 2009 s'est transformée en angoisse budgétaire pour 2010. Cela est particulièrement vrai dans la zone euro. Fin janvier, les écarts de taux d'intérêt sur les obligations grecques et les Bunds allemands ont atteint 3,86 points de pourcentage. Il existe aujourd'hui un risque de crise de confiance "autogénérée" qui pourrait avoir des conséquences néfastes pour d'autres membres vulnérables de la zone.
L'opinion courante est que les crises de ce type résultent des mauvaises politiques menées dans certains pays. On évoque leur trop grande souplesse budgétaire et la rigidité de leur économie. Le fruit de pareils péchés est l'austérité. Et ce n'est qu'après une longue période de pénitence que la brebis égarée peut revenir dans le troupeau de la stabilité. La Grèce tient à la perfection ce rôle de pécheur : Athènes reconnaît même avoir "trafiqué" ses statistiques officielles.
L'Irlande et l'Espagne ont aussi connu de spectaculaires détériorations de leur déficit public -il devrait s'être creusé, respectivement, de plus de 12 % et de 10 % du produit intérieur brut (PIB) entre 2007 et 2010. Or ces pays n'étaient jusqu'ici guère connus pour leurs errements budgétaires.
L'opinion courante voudrait également qu'une fois effectuées les corrections nécessaires en termes de dépense publique et de flexibilité, les pays concernés retrouvent le chemin de la croissance, comme ce fut le cas pour l'Allemagne après les douloureux ajustements opérés par Berlin au début de la décennie 2000.
Cette même opinion estime par ailleurs que l'existence d'énormes déséquilibres entre les balances des comptes courants au sein de la zone euro n'a aucune influence ni sur le problème ni sur sa solution. Car il n'y aurait pas plus de raison de s'inquiéter de ces déséquilibres que de s'inquiéter de ceux que l'on peut observer entre les divers Etats des Etats-Unis.
Cette opinion répandue est, hélas, stupide. Car si les décideurs n'en prennent pas conscience, ces déséquilibres risquent de conduire la zone euro vers de fortes tensions. L'affirmer est certes brutal mais tant que la Banque centrale européenne (BCE) tolérera une faible demande dans l'ensemble de la zone euro tout en laissant les pays du centre, au premier rang desquels l'Allemagne, présenter des excédents commerciaux massifs, il sera pratiquement impossible pour les membres les plus faibles de sortir du piège de leur insolvabilité. Le problème auquel ils sont confrontés ne peut en aucun cas être résolu par la seule austérité budgétaire. Ils ont besoin d'une énorme relance de la demande extérieure comme débouché à leur production.
Le point commun des pays en difficulté est qu'ils ont bénéficié de booms alimentés par le crédit. Leurs secteurs privés ont dépensé infiniment plus qu'ils ne gagnaient, faisant gonfler les recettes fiscales, contractant la dépense publique et générant des déficits commerciaux gigantesques mais aisément financés. Cela a également bénéficié aux exportations et à l'activité économique de leurs partenaires commerciaux.
Puis est arrivé le crash. Le nombre des emprunteurs privés solvables s'est réduit comme peau de chagrin. La dépense privée s'est effondrée, tout comme, par voie de conséquence, les positions budgétaires. L'emprunt public a remplacé l'emprunt privé comme contrepartie à des déficits extérieurs importants, mais en voie de contraction.
Que se passerait-il si les gouvernements réduisaient eux aussi leurs dépenses ? Dans une économie privée de la possibilité de compenser l'austérité par des mesures sur la monnaie ou le taux de change, toute réduction des dépenses peut conduire à une réduction au moins équivalente de la production à court terme. Vouloir réduire le déficit budgétaire de 10 % du PIB exigerait une réduction réelle de 15 % du PIB, en prenant en compte la baisse consécutive des recettes fiscales. Le PIB se contracterait donc lui aussi de 15 %. Cela paraît désastreux - et ça l'est.
Peut-on comparer cela avec la désinflation compétitive menée par l'Allemagne au début des années 2000 ? Une telle comparaison serait inepte.
Tout d'abord, le déficit budgétaire allemand n'a jamais plafonné qu'à 4 % du PIB en 2003. Ensuite, l'Allemagne a compensé l'extrême faiblesse de sa demande intérieure par une demande extérieure vigoureuse, tant de la zone euro qu'au-delà. En vérité, jusqu'à 70 % de l'augmentation du PIB du pays entre 1999 et 2007 est imputable à l'augmentation de ses exportations nettes.
L'Allemagne doit aujourd'hui renvoyer l'ascenseur. Plus précisément, la seule façon pour les pays membres de la zone euro de réduire leurs énormes déficits budgétaires, sans que leurs économies s'effondrent, serait soit de créer une nouvelle bulle du crédit du secteur privé, soit de susciter une forte progression de leurs exportations nettes. La première solution n'est pas souhaitable ; la seconde exige une compétitivité accrue et une demande extérieure soutenue.
Aujourd'hui, il n'existe ni l'une ni l'autre. Avec une devise européenne forte et une inflation faible en zone euro, il est difficile de pouvoir espérer de gagner en compétitivité.
C'est pour cela que les déséquilibres des balances des comptes courants au sein de la zone euro ont leur importance. Non seulement parce qu'un déficit des comptes courants contribue à saper une demande déjà faible, mais encore parce qu'il s'agit de pays entiers, et non de morceaux d'un seul pays.
Leurs électorats ne prendront certainement pas à la légère le fait que leur gouvernement se retrouve insolvable ou que leur pays subisse plusieurs décennies de ralentissement économique. Par ailleurs, si le gouvernement fédéral américain continuera de fonctionner quel que soit l'avenir de la Californie, l'Europe, elle, n'a pas de... gouvernement fédéral.
Alors, que faire ?
Si l'objectif est d'éviter le désastre, la réponse doit être un soutien budgétaire temporaire aux pays en difficulté, une solide demande consolidée dans la zone euro dans son ensemble, et un rééquilibrage substantiel de cette demande, emmené par l'Allemagne.
Le soutien budgétaire devrait être conçu pour empêcher qu'un effondrement de la confiance à court terme déclenche un défaut de paiement. En retour, les pays les plus faibles devraient s'engager dans la voie d'une réduction du salaire nominal et adopter un programme de compression de leurs dépenses.
En dehors de l'aide technique qu'il pourrait apporter, je ne vois aucune raison justifiant une intervention du Fonds monétaire international (FMI). Son immixtion démontrerait en fait que l'Union monétaire... n'en est pas une.
L'autre solution consisterait à laisser les pays vulnérables à la merci des vents contraires. Mais une union monétaire dont le pays moteur, non seulement exporterait la déflation, mais resterait les bras croisés pendant que les autres s'effondrent, irait au-devant de graves ennuis. Seule l'Allemagne est en mesure de décider si elle souhaite ou non que l'Union monétaire prospère.
Cette chronique de Martin Wolf, éditorialiste économique, est publiée en partenariat exclusif avec le "Financial Times". © FT.
(Traduit de l'anglais par Gilles Berton)





Pour le "droit au crédit opposable"

16/02/2010 13:44

Pour le


Contre le "racket bancaire", Dupont-Aignan propose "le droit au crédit"
15/02/2010 16h58 GMT - ASSEMBLÉE-RÉGIONALES-BANQUE-ENTREPRISE - Nouvelles de France - AFP
 
PARIS, 15 février 2010 (AFP) - Le président de Debout la République Nicolas Dupont-Aignan a demandé lundi, lors d’une conférence de presse à l’Assemblée nationale, des mesures contre le "racket bancaire", comme par exemple le "droit au crédit opposable".
"Le secteur bancaire n’est plus au service de l’économie, a déclaré M. Dupont-Aignan, entouré d’une demi-douzaine de chefs de petites entreprises menacés par des refus de crédit ou des frais bancaires élevés. En 2009, quantité de petites entreprises sont tombées pour un refus de quelques milliers d’euros".
Candidat aux régionales en Ile-de-France, le député-maire d’Yerres (Essonne) demande "un droit au crédit opposable", obligeant les banques à "justifier systématiquement par écrit tout refus de crédit".
Le chef de file de Debout la République (ex-UMP) veut aussi une "séparation stricte entre banques de dépôts et banques d’investissement". Il réclame une taxe Tobin "pour modérer les ardeurs spéculatives et faire contribuer l’économie de rente au financement de la protection sociale".
Entouré d’un porte-parole de www.petition_contre_les_abus_bancaires.org, M. Dupont-Aignan a qualifié "d’utile" le médiateur du crédit, "mais c’est un pansement". Il juge que la taxation exceptionnelle des bonus bancaires de 2009 "est un plus, mais pas à la hauteur de l’enjeu".
Le gouvernement a décidé d’affecter le produit de cette taxe - 270 millions d’euros - à la banque publique de financement des petites et moyennes entreprises Oseo. Mais "Oseo ne prête pas directement aux entreprises", ont souligné M. Dupont-Aignan et ses hôtes.
st/aml/etr/jpa
Retrouvez le "Mémorandum pour un secteur bancaire responsable en France" présenté par NDA lors de la conférence de presse :





Quand Mamère franchit la ligne verte…Et accuse sa victime de franchir la ligne jaune !

16/02/2010 10:00

Quand Mamère franchit la ligne verte…Et accuse sa victime de franchir la ligne jaune !


C’est LibéBordeaux qui nous l’apprend : il y aurait un pataquès du côté de Bègles entre le célèbre député écologiste Noël Mamère et sa suppléante socialiste Naïma Charaï.
Monsieur Mamère s’est en effet permis, lors d’une émission de télé, de parler à la place de sa suppléante, et l’a qualifiée de “musulmane” alors qu’elle se considère comme “laïque et agnostique”. Il l’a, de plus, associée à son opinion sur le caractère stigmatisant d’une loi interdisant la burqa alors qu’elle-même se déclare, au contraire, favorable au vote d’une telle loi.
Naïma Charaï a remis à sa place son député titulaire vendredi dans un communiqué où elle dit refuser que l’on parle en son nom et être réduite à une appartenance religieuse, bafouant ainsi le principe de laïcité. Se faisant, LibéBordeaux remarque très opportunément que Madame Charaï effectue un audacieux parallèle entre Noël Mamère et Nicolas Sarkozy, lequel a parfois été pris en flagrant délit du même amalgame.
Il semble bien, qu’en plus de partager la même conception de la Laïcité que le Président de la République ainsi que le juge Naïma Charaï, Noël Mamère déteste aussi se voir contredit par ceux qu’il considère être ses vassaux . Ainsi, a t-il dégainé dans Sud-Ouest :“Naïma a franchi la ligne jaune, à elle d’en tirer les conséquences”.
Il faut qu’elle fasse quoi ? Qu’elle renonce à la suppléance ? Mamère se prépare t-il à devenir ministre d’ouverture de Nicolas Sarkozy, dont il est maintenant établi qu’il partage certaines opinions et méthodes, et veut-il priver cette dame de l’honneur de s’asseoir dans l’hémicycle ? On ne saurait exclure que le mécontentement de Noël Mamère, ainsi pris en faute, ne soit déconnecté de la guerre sans merci que se livrent Europe Ecologie et PS dans cette région comme dans les autres. Mais cette manière de traiter Madame Charaï, n’en doutons pas, aurait déjà été qualifiée de “dérapage” dans tous les journaux, radio et télés, si l’ancien candidat à la présidentielle ne bénéficiait pas, au contraire de Georges Frêche, d’une quasi-immunité médiatique que son ancienne profession explique assez facilement.
David Desgouilles





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